Quand on commence à explorer son monde intérieur et à s’intéresser au développement personnel ou à la psychologie, le mot traumatisme revient souvent. On peut alors se demander : « C’est quoi un traumatisme ? »
Le « trauma » (comme on l’appelle souvent) désigne des expériences passées qui ont laissé des traces profondes en nous, parfois sans qu’on le réalise. Ces événements, qu’ils soient importants ou discrets, peuvent influencer notre façon de penser, d’agir et de voir le monde. Ils agissent un peu comme un caillou dans la chaussure : on vit avec… mais c’est désagréable et souvent douloureux.
Pour s’en libérer il est important de mettre des mots sur ce que l’on vit et de reconnaître la blessure.
Il existe plusieurs types de traumatismes, selon leur nature, leur durée et leur intensité. Voici les principaux :
Traumatisme simple ou aigu
Le traumatisme simple, ou traumatisme aigu, est une réponse émotionnelle à un événement unique, soudain et souvent imprévisible, tel qu’un accident, une agression ou une catastrophe naturelle. Bien que cet événement ne dure qu’un court instant, son impact émotionnel peut être profond et persister longtemps après. Ce type de traumatisme survient lorsque l’expérience dépasse votre capacité à y faire face, laissant des traces qui peuvent influencer vos pensées, vos comportements et votre perception du monde.
Exemples :
- Accidents de voiture ou blessures graves
- Agressions physiques ou sexuelles
- Catastrophes naturelles (tremblements de terre, inondations, etc.)
- Assister à un acte violent
- Rupture amoureuse violente
Symptômes du traumatisme simple
1- Flashbacks : On revit l’événement traumatisant de façon incontrôlée.
Exemple : Quelqu’un qui a été témoin d’un accident de voiture peut revivre la scène chaque fois qu’il entend un bruit similaire à un accident, comme des pneus qui crissent.
2- Cauchemars : L’événement refait surface dans les rêves de façon perturbante.
Exemple : Une victime d’agression peut revivre l’attaque dans ses cauchemars, la laissant angoissée au réveil.
3- Hypervigilance : Etre constamment sur ses gardes, prêt à réagir comme si on était encore en danger.
Exemple : Après un cambriolage, une personne peut être anormalement sensible aux bruits dans sa maison, croyant que cela annonce un autre incident.
4- Anxiété : Un sentiment de peur ou de malaise persiste longtemps après l’événement.
Exemple : Quelqu’un qui a échappé à un incendie peut être pris de panique à chaque fois qu’il sent de la fumée, même si la situation est sans danger.
5- Évitement : La personne évite tout ce qui pourrait lui rappeler l’événement.
Exemple : Après avoir survécu à un accident en avion, une personne peut éviter de reprendre l’avion pendant des années, par crainte de revivre un crash.
Ces traumatismes peuvent entraîner des troubles comme l’état de stress post-traumatique (ESPT), qui se manifeste par :
- des rappels intrusifs (flashbacks, cauchemars, souvenirs envahissants de l’événement)
- une hyperactivité (irritabilité, sommeil dysfonctionnel, difficultés de concentration, réactions de peur accrues)
- une altération de la cognition (détachement/aliénation relationnel, pensées négatives, perte d’intérêt pour les activités auparavant appréciées)
- l’évitement (des situations, personnes ou activités rappelant l’événement).
Traumatisme complexe ou chronique
Le traumatisme complexe, ou traumatisme chronique, résulte d’expositions prolongées ou répétées à des événements traumatisants. Contrairement au traumatisme simple, qui provient d’un événement isolé, le traumatisme complexe s’installe dans le temps et affecte profondément le développement émotionnel et psychologique de l’individu.
Exemples :
- Abus physiques, sexuels ou émotionnels répétés
- Violence domestique ou situations de guerre
- Négligence : absence de soins émotionnels ou physiques pendant l’enfance
- Harcèlement prolongé, que ce soit à l’école, au travail ou dans d’autres milieux sociaux
Symptômes du traumatisme complexe
1- Dissociation : La personne peut se sentir déconnectée de ses émotions ou de son corps, comme si elle observait sa vie de l’extérieur.
Exemple : Un individu ayant subi des abus durant l’enfance peut éprouver des moments où il se sent « dans le brouillard », incapable de se concentrer ou de ressentir ses émotions.
2- Problèmes relationnels : Difficultés à établir et à maintenir des relations saines.
Exemple : Quelqu’un ayant vécu une négligence émotionnelle peut développer des schémas de dépendance ou au contraire d’évitement dans ses relations amoureuses, craignant l’intimité ou l’abandon.
3- Anxiété chronique : Un état d’anxiété persistant peut être présent, souvent sans raison claire.
Exemple : Une personne ayant vécu dans un environnement violent peut ressentir une anxiété constante (être sur le qui-vive), même dans des situations sécurisées.
4- Colère et irritabilité : Accès de colère ou réactions exagérées face à des stress mineurs.
Exemple : Quelqu’un ayant subi des abus répétitifs peut réagir avec une forte colère si un collègue ou une connaissance lui touche le bras en lui parlant.
5- Faible estime de soi : Un sentiment de valeur personnelle diminuée est courant.
Exemple : Une personne ayant grandi dans un environnement où elle était dévalorisée peut se percevoir comme incompétente ou indigne d’amour.
6- Pensées négatives persistantes : Les individus peuvent éprouver des pensées autodestructrices ou un sentiment de désespoir.
Exemple : Quelqu’un ayant vécu des traumatismes prolongés peut se sentir désespéré quant à l’avenir, croyant qu’il ne va jamais s’en sortir.
Les personnes victimes de traumatismes complexes peuvent développer des troubles de la personnalité, des troubles dissociatifs, des troubles dépressifs et un état de stress post-traumatique (ESPT). Le traumatisme complexe altère souvent la perception de soi et du monde, laissant une marque durable sur la personne.
Traumatisme développemental
Ce type de traumatisme survient pendant les phases critiques de l’enfance, lorsqu’un enfant subit des abus, de la négligence ou un manque de soins émotionnels. L’impact est d’autant plus profond que ces expériences affectent le développement de la personnalité, de l’attachement émotionnel, et des compétences relationnelles.
Exemples :
- Séparation précoce avec les parents, comme lors d’un placement en famille d’accueil.
- Environnement familial instable (parents avec des problèmes d’addiction, violence).
- Abandon émotionnel ou manque d’attention parentale.
Symptômes du traumatisme développemental
1- Problèmes d’attachement : Les enfants peuvent avoir des difficultés à établir des relations stables et sécurisantes, développant des comportements d’attachement anxieux ou évitant.
Exemple : Un enfant négligé peut devenir extrêmement dépendant des autres ou, au contraire, éviter toute forme d’intimité.
2- Régulation émotionnelle altérée : Les personnes touchées peuvent avoir du mal à gérer leurs émotions, oscillant entre des réactions excessives et une dissociation émotionnelle.
Exemple : Un adulte ayant vécu des abus dans son enfance peut éprouver des accès de colère incontrôlés ou se sentir émotionnellement engourdi.
3- Faible estime de soi : Les victimes de ces traumatismes peuvent développer une image de soi déformée, se percevant comme inférieures ou non dignes d’amour.
Exemple : Un adolescent ayant grandi dans un environnement hostile peut croire qu’il ne mérite pas d’être heureux ou accepté par ses pairs.
4- Comportements autodestructeurs : Il peut y avoir des tendances à l’automutilation, à la consommation de substances ou à des relations toxiques.
Exemple : Une personne ayant subi des abus peut se tourner vers l’alcool ou d’autres drogues comme moyen de faire face à sa douleur émotionnelle.
5- Difficultés d’apprentissage et problèmes de concentration : Les traumatismes infantiles peuvent affecter les capacités cognitives et la concentration.
Exemple : Un enfant ayant vécu dans un foyer instable peut avoir des difficultés à se concentrer à l’école, ce qui peut nuire à ses performances académiques.
Ce type de traumatisme peut causer des troubles de l’attachement, des problèmes de confiance et des difficultés à gérer les émotions à l’âge adulte. Il est souvent à l’origine de comportements autodestructeurs ou d’une faible estime de soi
Traumatisme vicariant ou secondaire
Les personnes qui ne vivent pas directement un traumatisme peuvent malgré tout en ressentir les effets. Soit en étant témoin des souffrances des victimes soit en étant exposées régulièrement au récit de leurs expériences traumatiques.
En s’identifiant ainsi à la personne traumatisée, ils ressentent indirectement sa douleur, sa peur ou sa colère, ce qui entraîne à terme une réaction physique et émotionnelle.
Exemples :
- Travailleurs sociaux ou thérapeutes écoutant des récits d’abus ou de violence.
- Personnel médical, secouristes, journalistes de terrain confrontés à des cas traumatisants, tels que les victimes d’accidents de violence ou de guerre.
- Proches de victimes de traumatismes qui absorbent indirectement leur détresse.
Symptômes du traumatisme vicariant
1- Épuisement émotionnel : Un sentiment de fatigue profonde dû à l’accumulation des émotions des autres.
Exemple : Un psychothérapeute peut se sentir constamment épuisé après avoir écouté les histoires difficiles de ses patients.
2- Dissociation : Une sensation de détachement ou d’éloignement par rapport à soi-même ou à la réalité.
Exemple : Un chirurgien qui côtoie régulièrement la mort au bloc opératoire, peut se sentir à la longue déconnecté de ses propres émotions.
3- Anxiété : Une anxiété persistante liée à la peur que des événements traumatiques similaires se produisent dans sa propre vie.
Exemple : Un travailleur social qui fait régulièrement face à des situations de maltraitance peut développer une anxiété excessive par rapport à la sécurité de ses propres enfants.
4- Problèmes relationnels : Difficultés à établir ou maintenir des relations saines, souvent dues à une méfiance ou à une surcharge émotionnelle.
Exemple : Quelqu’un qui travaille avec des victimes de violence domestique peut éviter de s’engager dans une relation amoureuse de peur de subir lui-même des violences.
Le traumatisme vicariant souligne l’importance de la santé mentale et du soutien psychologique pour ceux qui sont exposés à la souffrance des autres, afin de prévenir l’épuisement émotionnel (burn-out) et d’améliorer leur bien-être global.
Traumatisme collectif
Le traumatisme collectif désigne les effets psychologiques négatifs ressentis par un groupe de personnes après un événement marquant qui touche une communauté, une nation ou plusieurs pays. Cela peut être causé par des situations telles qu’une guerre, une catastrophe naturelle, un attentat ou des violences sociales. Ce type de traumatisme impacte non seulement la santé mentale des individus, mais aussi leurs relations et la dynamique sociale au sein de la communauté.
Exemples :
- Attentats terroristes (comme le 11 septembre)
- Pandémies (comme la pandémie de COVID-19)
- Guerres ou génocides
- Crises économiques majeures qui entraînent des pertes d’emploi et de sécurité
Symptômes du traumatisme collectif
1- Stress post-traumatique (SPT) : Les membres du groupe peuvent revivre l’événement traumatisant à travers des flashbacks ou des cauchemars.
Exemple : Des survivants d’un attentat peuvent faire des rêves récurrents de l’événement.
2- Anxiété généralisée : Une peur persistante et irrationnelle peut s’installer, souvent liée à la sécurité personnelle et communautaire.
Exemple : Des résidents d’une ville touchée par des violences peuvent devenir anxieux en sortant de chez eux.
3- Isolement social : Les individus peuvent s’éloigner de leur entourage, éprouvant des difficultés à établir des liens sociaux, ce qui aggrave le sentiment de solitude.
Exemple : Des survivants d’une catastrophe naturelle peuvent éviter les rassemblements communautaires par peur d’évoquer et de revivre les émotions douloureuses.
4- Sentiments de désespoir : Un sentiment d’impuissance face à l’avenir peut s’installer, rendant difficile l’espoir de rétablissement ou de reconstruction.
Exemple : Après une inondation dévastatrice, les habitants peuvent se sentir désespérés face à la destruction de leurs maisons et de leur communauté.
Le traumatisme collectif peut modifier la psyché de communautés entières et entraîner des conséquences sociales comme la méfiance, des tensions raciales ou culturelles, ou une hypervigilance collective.
Traumatisme intergénérationnel
Le concept de trauma intergénérationnel ou transgénérationnel , est apparu dans les années 1990 avec les travaux de la psychologue et psychanalyste Anne Ancelin Schützenberger. Ses recherches ont mis en évidence la manière dont les traumatismes non résolus peuvent se transmettre à travers les générations, influençant ainsi leurs comportements et émotions.
Ce phénomène est souvent observé dans les familles touchées par des guerres, des persécutions, des catastrophes naturelles, des morts brutales ou des abus.
Exemples :
- Descendants de survivants de l’Holocauste, ou d’autres génocides.
- Communautés affectées par la colonisation ou des déplacements forcés
- Familles ayant subi des abus sur plusieurs générations
On commence à envisager qu’un traumatisme puisse être d’origine transgénérationnelle lorsqu’aucune cause rationnelle n’est identifiable dans l’histoire de vie de la personne.
Les symptômes peuvent donc être aussi variés que les formes que revêt le traumatisme de l’ancêtre.
Principaux Symptômes du Trauma Intergénérationnel
1- Culpabilité ou honte liées aux expériences des ancêtres
Exemple : Un descendant d’une personne ayant fait fortune malhonnêtement pourra éprouver de la honte à gagner de l’argent.
2- Anxiété ou dépression sans raison apparente
Exemple : Un enfant dont les grands-parents ont fui leur pays à cause de la guerre peut développer une anxiété intense à l’idée de la perte ou de l’abandon.
3- Comportements répétitifs destructeurs : Les descendants peuvent reproduire des schémas de comportement néfastes, comme des relations abusives ou des problèmes d’addiction.
Exemple : Une personne issue d’une famille marquée par l’alcoolisme peut également tomber dans l’addiction sans en comprendre l’origine.
4- Peu de confiance en soi : Les descendants peuvent développer une faible estime de soi et des doutes permanents sur leurs capacités.
Exemple : Un individu dont le grand-père a subi des humiliations récurrentes pourra douter de sa valeur et de sa capacité à réussir.
5- Peur irraisonnée : Une peur excessive et sans raison apparente se manifester dans la vie du descendant.
Exemple : Une personne dont l’arrière grand-mère est morte noyée peut avoir développé une peur de l’eau depuis l’enfance.
Le trauma intergénérationnel souligne l’importance de la guérison non seulement pour les victimes directes d’un traumatisme, mais aussi pour leurs descendants, afin de rompre le cycle de la souffrance émotionnelle.
Soigner ses traumatismes est essentiel pour retrouver équilibre et bien-être. Sans traitement, ils finissent par s’infiltrer dans de nombreux aspects de votre vie, vous empêchant de fonctionner correctement au quotidien. Ils nuisent notamment, à votre relation aux autres et peuvent même engendrer des comportements autodestructeurs. Se soigner, c’est donc se donner une chance de se libérer du passé et d’envisager la vie avec confiance, sérénité et apaisement.
En finir avec ses traumatismes
4 Bonnes Raisons de Tester l'Hypnose Humaniste
1- Vous gardez le contrôle
L’un des avantages majeurs de l’hypnose humaniste réside dans le fait que vous restez pleinement conscient de ce qui se passe pendant la séance. Or vivre un traumatisme c’est quelque part perdre le contrôle sur les événements et sur sa vie. On peut se sentir vulnérable voire impuissant.
Le fait de garder la maîtrise sur le processus thérapeutique est donc essentiel pour restaurer un sentiment de sécurité et de maîtrise.
C’est dans ce cadre protégé que les émotions peuvent enfin émerger pour être libérées. De plus, en devenant acteur de votre propre guérison, vous vous sentez à nouveau aux commandes : fini d’être victime, fini de subir ! Vous redécouvrez cette force de vie en vous, celle qui vous pousse à aller de l’avant. Votre pouvoir intérieur !
2- Vous n'êtes jamais seul
L’hypnothérapeute humaniste, vous guide toujours avec douceur, favorisant un environnement où il vous est possible d’exprimer librement vos émotions sans jugement. En vous assurant une écoute attentive et en validant vos ressentis, il vous encourage à vous défaire tranquillement, de vos poids émotionnels, et vous aide à panser vos blessures.
Parce que vous avancez ensemble, main dans la main, vous vous sentez capable de faire face aux souvenirs et émotions difficiles.
Cette présence bienveillante apaise votre anxiété. Vous vous sentez soutenu et encouragé tout au long de la séance.
3- Ressentez sans Subir : La Force du Travail Symbolique
En hypnose humaniste, il est également possible d’explorer ses traumatismes sans avoir à les revivre. Ce processus, appelé travail symbolique, permet d’atteindre la source de la souffrance sans en raviver la douleur.
Grâce à cette approche, vous pouvez aborder vos émotions de manière détachée et sécurisée.
Les blocages profonds se manifestent à votre esprit sous forme de symboles (par exemple, la tristesse peut être représentée par une lourde pierre sur la poitrine, tandis que l’agresseur pourrait apparaître comme une ombre noire qui vous suit).
En fonction de vos ressentis, vous allez ensuite décider de transformer ou de détruire ces symboles. C’est la phase de guérison.
Vous vous sentez ainsi plus léger, plus serein ou simplement plus apaisé. En modifiant votre symbole, vous avez comme « gommé » l’impact émotionnel de l’événement traumatique.
4- Désactivez vos mémoires héritées
L’hypnose humaniste offre une exploration approfondie, tant de votre vécu personnel que des traumatismes familiaux transmis à travers les générations.
En identifiant ces schémas répétitifs hérités, vous comprenez comment ces mémoires influencent votre comportement, vos émotions et vos relations.
Conscient de la source de ces traumatismes, vous voilà à même de les libérer. Bien sûr il vous faudra accepter que certaines de ces expériences ne vous appartiennent pas et qu’elles n’ont pas à définir qui vous êtes.
En vous libérant de ces mémoires héritées, vous contribuez ainsi à établir une dynamique familiale plus saine, bénéfique pour les générations futures. Cela vous offre également l’opportunité de réécrire votre propre histoire, en vous détachant des attentes et des pressions héritées.
Débarrassé des fardeaux inconscients du passé, vous voilà enfin libre de créer le futur qui vous ressemble !
Conclusion
Qu’il soit individuel ou collectif, simple ou complexe, chacun est un jour confronté à un traumatisme. Reconnaître cette blessure est un premier pas. Décider de ne plus la subir c’est ouvrir la voie de la guérison.
Se faire accompagner est souvent une sage décision : parce qu’à deux on est plus fort, on a moins peur et surtout parce qu’à deux, c’est bien plus facile !
Choisir l’hypnose humaniste comme outil d’exploration, c’est se permettre d’affronter les ombres du passé avec un bouclier de douceur et de sécurité. Les émotions et les mémoires douloureuses s’évanouissent. L’énergie vitale circule à nouveau. Vous vous sentez vivant !
Libéré, plus léger, vous voilà à nouveau maître de votre histoire, confiant en l’avenir.
« Le véritable voyage de découverte ne consiste pas à chercher de nouveaux paysages, mais à avoir de nouveaux yeux. »
Marcel Proust
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